Présentation[]

La Bourse est un bâtiment de niveau III de la Plateforme commerciale dans Civilization VI. Elle nécessite la technologie Sciences économiques.
- Effets (Règles classiques Rise and Fall):
- +7 Or (boosté par la doctrine Libre Marché)
- +1 Emplacement de Citoyen.
- +1 pt de Marchand illustre par tour.
- Avec le Pack Ethiopie: +6 Or par chaque cité-Etat commerciale avec plus de 6 émissaires.
- Effets (Gathering Storm):
- +4 Or (boosté par la doctrine Libre Marché)
- +7 Or supplémentaire quand elle est alimentée en électricité.
- Chargement de base: 3 électricité.
- +1 Emplacement de Citoyen.
- +2 Or supplémentaire par Spécialiste dans ce quartier.
- +1 pt de Marchand illustre par tour.
- Avec le Pack Ethiopie: +6 Or par chaque cité-Etat commerciale avec plus de 6 émissaires.
Prérequis[]
Technologie: Sciences économiques
Quartier: Plateforme commerciale
Bâtiment: Banque ou Chambre forte dorée ou Grand Bazar (Ottomans).
Coût: 390 de production (330 dans Gathering Storm).
Stratégie[]
- Est un bâtiment intéressant pour développer son économie mais elle est moins puissante que d'autres bâtiment de niveau III car elle nécessite une alimentation en électricité pour être vraiment efficace.
- C'est pour cela que le Complexe portuaire est beaucoup plus privilégier par rapport à la Bourse car celle-ci fournit de l'Or, de la Nourriture et de l'Habitation sans avoir la nécessité d'être alimenté en électricité.
- Mais cela dit, la Bourse est moins chère en production par rapport aux autres bâtiments de niveau III et peut être améliorable grâce à certaines civilisations comme l'Angleterre (qui confère un rendement en Or de +4 pour les bourses alimentées). Pour les civilisations qui s'orientent vers le culturelle, la bourse devrait être intéressante car elle donne des pts supplémentaires en Marchand illustre et cela, combiné à la doctrine Laissez-faire, permet de recruter Melitta Bentz et Sarah Breedlove, deux marchandes illustres qui augmentent de manière significative le Tourisme.
Contexte historique[]
La bourse est une merveille pour qui aime les jeux d'argent raffinés : la spéculation sur la hausse ou la baisse de la valeur des "actions" (parts de propriété d'une entreprise dans les sociétés "cotées"). Sur les conseils des courtiers, qui touchent toujours une commission, n'importe qui peut se lancer dans la grande foire aux actions, obligations et autres valeurs. Cette pratique remonte à la création de titres échangeables dans les banques italiennes de la Renaissance, représentant la part d'un créancier dans une compagnie ou entreprise (par exemple, un voyage commercial). Formée en 1602, la Compagnie néerlandaise des Indes orientales fut la première corporation à commercialiser des actions, proposant des dividendes décalés (portion des bénéfices annuels) pour tout investisseur ayant les moyens de spéculer. La classe moyenne s'est ruée dessus, enjoignant d'autres compagnies à franchir le pas. Plus tard, un Anglais à la réputation louche nommé John Castaing se mit à publier régulièrement une liste des actions et prix des matières premières. Moyennant une commission, il endossait le rôle de courtier, marquant ainsi les prémices de la Bourse de Londres. Cette pratique, malgré la tulipomanie, la disparition de la Compagnie des mers du Sud, les arnaques et autres scandales retentissants, perdure depuis.